Chaque année, Refashion publie son Baromètre pour apporter une éclairage sur les évolutions et les comportements d’achat de textiles et chaussures en France. On vous fait un récap.
Après un recul en 2023, les ventes repartent à la hausse 3.5 milliards : c’est le nombre de vêtements, linge de maison et chaussures neufs vendus en France en 2024. Un chiffre en hausse de 2.9% par rapport à 2023.
C’est 10 millions de pièces neuves vendues chaque jour.
Après un recul en 2023, les ventes repartent à la hausse 3.5 milliards : c’est le nombre de vêtements, linge de maison et chaussures neufs vendus en France en 2024. Un chiffre en hausse de 2.9% par rapport à 2023.
C’est 10 millions de pièces neuves vendues chaque jour.
Mais alors, comment s'explique cette hausse ?
La reprise est principalement portée par l’habillement, avec 4 catégories responsables de 90% de la croissance sur ce rayon : les chaussants, le pull, les pantalons de ville/ jean et le tee-shirt.
Contre toutes attentes, ce n’est pas parce que “les petits grandissent vite” que le renouvellement de la garde-robe des Français s’est accentué en 2024. En effet, le vestiaire enfants (4-14 ans) est resté stable avec 49 pièces, majoritairement composé de t-shirts. Quant au segment bébé (0-3 ans), il baisse légèrement, avec 2 pièces achetées en moins sur l’année.
Par ailleurs, cette hausse s’explique par un contexte inflationniste moins tendu, mais aussi et surtout par l’intérêt croissant pour les prix très accessibles. En 2024, 71% des achats des Français pour les textiles d’habillement, linge de maison et chaussures (TLC) neufs ont été faits sur de l’entrée de gamme, soit un prix de 8,2€ en moyenne.
Enfin, l'année 2024 est marquée par un "effet Jeux Olympiques", notamment visible sur les chaussures de sportswear/ baskets dont les ventes bondissent de +6.8%.
Contre toutes attentes, ce n’est pas parce que “les petits grandissent vite” que le renouvellement de la garde-robe des Français s’est accentué en 2024. En effet, le vestiaire enfants (4-14 ans) est resté stable avec 49 pièces, majoritairement composé de t-shirts. Quant au segment bébé (0-3 ans), il baisse légèrement, avec 2 pièces achetées en moins sur l’année.
Par ailleurs, cette hausse s’explique par un contexte inflationniste moins tendu, mais aussi et surtout par l’intérêt croissant pour les prix très accessibles. En 2024, 71% des achats des Français pour les textiles d’habillement, linge de maison et chaussures (TLC) neufs ont été faits sur de l’entrée de gamme, soit un prix de 8,2€ en moyenne.
Enfin, l'année 2024 est marquée par un "effet Jeux Olympiques", notamment visible sur les chaussures de sportswear/ baskets dont les ventes bondissent de +6.8%.
En moyenne en 2024, les Français ont acheté 42 pièces d’habillement neuves.
Et la seconde main dans tout ça ?
La seconde main tire progressivement son épingle du jeu en s’installant durablement dans les pratiques de consommation des Francais.
En 2023, les acheteurs francais de seconde main ont acheté en moyenne 7,3 pièces de textiles et chaussures.
Majoritairement porté la vente de particulier à particulier, le marché de la seconde main se structure et apparaît comme une alternative au neuf. En 2023, 31% des acheteurs de seconde main affirmant essayer de substituer leurs achats de neufs à la seconde main. Au total, plus d’1/3 des Francais ont achete au moins une ou plusieurs pièces de seconde main.
Malgré une dynamique prometteuse, plusieurs freins continuent de ralentir le développement de ce marché, tells que l’insuffisance des volumes collectés, la concurrence de la seconde main avec l’entrée de gamme et des standards de vente encore nettement sous-développés.
En 2023, les acheteurs francais de seconde main ont acheté en moyenne 7,3 pièces de textiles et chaussures.
Majoritairement porté la vente de particulier à particulier, le marché de la seconde main se structure et apparaît comme une alternative au neuf. En 2023, 31% des acheteurs de seconde main affirmant essayer de substituer leurs achats de neufs à la seconde main. Au total, plus d’1/3 des Francais ont achete au moins une ou plusieurs pièces de seconde main.
Malgré une dynamique prometteuse, plusieurs freins continuent de ralentir le développement de ce marché, tells que l’insuffisance des volumes collectés, la concurrence de la seconde main avec l’entrée de gamme et des standards de vente encore nettement sous-développés.
